Ce corps-à-corps entre le héros Ramsès II triomphant et l'ennemi barbare chancelant est d'une fougue épique qui rappelle Achille ou Ajax, les héros mycéniens contemporains.
Ramsès II a vu dans l'architecture un puissant moyen de propagande à la fois politique et idéologique. Tourné vers le Sud, la Nubie, le roi, assimilé au dieu soleil, affirme sa fonction de maître universel.
Ramsès II a vu dans l'architecture un puissant moyen de propagande à la fois politique et idéologique. Tourné vers le Sud, la Nuibie, le roi, assimilé au dieu soleil, affirme sa fonction de maître universel.
Ramsès II a vu dans l'architecture un puissant moyen de propagande à la fois politique et idéologique. Tourné vers le sud, la Nubie, le roi assimilé au dieu soleil affirme sa fonction de maître universel.
La multiplication des statues royales entre les lourdes colonnes papyriformes à fleurs fermées illustre le goût théâtral - on pourrait dire "baroque" - des temples ramessides.
Par l'usage du plan basilical, le temple funéraire de Ramsès II s'inspire clairement du chef-d'oeuvre de Séthi Ier à Karnak (grande salle hypostyle du temple d'Amon).