Ramsès II a vu dans l'architecture un puissant moyen de propagande à la fois politique et idéologique. Tourné vers le sud, la Nubie, le roi assimilé au dieu soleil affirme sa fonction de maître universel.
Ce corps-à-corps entre le héros Ramsès II triomphant et l'ennemi barbare chancelant est d'une fougue épique qui rappelle Achille ou Ajax, les héros mycéniens contemporains.
Ce relief néo-assyrien, rapproché des scènes de chasse du Nouvel Empire égyptien, montre l'universalité de la symbolique royale de la chasse aux fauves.